L'article
numérisé,
ci-haut, nous informe
que le 2006oct31,
Purina
a distribué
400 tonnes de
farine de SANG, dans
une
centaine de
ferme laitières, soit, en moyenne,
quatre tonnes par ferme, et que,
chemin faisant, ils pourraient les avoir contaminées dans des
wagons ayant contenu des « ingrédients » pouvant
causer la maladie, dite, de « la VACHE FOLLE ». En fait,
l'article de
Le Devoir
présente
le
problème comme étant cette
contamination, et non pas qu'il y aurait une quelconque
problématique naturaliste, zoologique, éthique, sociale,
neurologique, logique, ou kinesthésique, dans le fait de nourrir
avec du
sang des
ruminants
végétariens , les vaches, qui fournissent en
lait « le
peuple et ses enfants » !!
On dirait
qu'on complote,
sans coeur et myope, en nourrissant méthodiquement des vaches,
ruminants
végétariens, avec des ingrédients
contre-nature, du
sang, parce
qu'à
court terme, les vaches produisent plus de lait, ce qui est plus
profitable,
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parlant. Sauf qu'on reproduit exactement les techniques
d'agriculture, américaine et britannique, du début des
années 80, qui, en quelques années, ont rapidement
causé l'encéphalopathie spongiforme bovine dans les
cheptels ; le
même élément chimique, des trois, fondamentaux en
agriculture, est contenu dans la farine de sang :
l'azote. Ce que l'on
s'était mis à nourrir les vaches laitières, il y a
± 25 ans, c'était de la farine de poisson,
riche en azote, alors
qu'aujourd'hui,
en Australie, en UK et aux US, c'est
précisément à ces seuls poissons, qu'on doit
nourrir la
farine de sang.
Plusieurs espèces de poissons sont carnivores ; les vaches, non !